Parfois, au XIXème siècle, certains bureaux de poste pouvaient être mal approvisionnés et manquer de timbre de certaines dénominations. S'il manque une valeur élevée, c'est simple, il suffit de mettre plusieurs timbres pour atteindre le bon tarif. Si la valeur la plus faible vient à manquer, ça ne fonctionne plus.
Un peu partout dans le monde, les employés des services postaux ont alors utilisé la même méthode : couper en deux un timbre dont la valeur nominale est double de celle nécessaire à l'affranchissement. Dans de rares cas, on a coupé un timbre en quatre. Qui dit mieux ?
Ce pli est affranchi au tarif de un réal avec un huitième (!) d'un timbre mexicain de 8 réaux. D'après le vendeur, de 7 à 8 tels plis seraient aujourd'hui connus, ce qui en fait une pièce particulièrement rare.
Ce timbre peut également être trouvé sur enveloppe coupé en deux, en quatre et même, tenez-vous bien, en trois-quart pour un affranchissement de six réaux !
Un peu partout dans le monde, les employés des services postaux ont alors utilisé la même méthode : couper en deux un timbre dont la valeur nominale est double de celle nécessaire à l'affranchissement. Dans de rares cas, on a coupé un timbre en quatre. Qui dit mieux ?
Mis en vente par Schuyler Rumsey, vente aux enchères n° 27, lot n° 1663. Cote : 11 000$ Prix de vente : Invendu |
Ce pli est affranchi au tarif de un réal avec un huitième (!) d'un timbre mexicain de 8 réaux. D'après le vendeur, de 7 à 8 tels plis seraient aujourd'hui connus, ce qui en fait une pièce particulièrement rare.
Ce timbre peut également être trouvé sur enveloppe coupé en deux, en quatre et même, tenez-vous bien, en trois-quart pour un affranchissement de six réaux !
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